Martine Aubry a dit :

vendredi 8 octobre 2004

« Il faut que les gens comprennent que garer la voiture devant chez soi, devant l’école, devant le lieu de travail, (…), tout ça n’existe plus. Sinon, notre ville régresserait. » Elle a réaffirmé qu’elle souhaitait la réduction de la place de la voiture en ville, et que le principe du contresens cycliste reste acquis. « Ce n’est pas un contresens cycliste qui va nous foutre le bin’s ! »
Dans la Voix du Nord ce matin...

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